Cette combinaison de cyber-escroquerie et de trafic d’êtres humains en Asie du Sud-Est est largement organisée par des gangsters chinois qui contrôlent les jeux d’argent dans la région. Un haut responsable de la police thaïlandaise a parlé de la corruption et de la résistance des responsables cambodgiens qui ont empêché une opération conjointe visant à libérer certains des 3000 cyber-esclaves thaïlandais présumés dans le pays.

Les ravages du cyber-esclavage en Asie du Sud-Est
Passeport confisqués, contrats déchirés : les jeunes apprentis escrocs sont forcés à travailler 14 heures par jour ou plus, pour essayer de gagner la confiance principalement des Américains, des Européens et des Australiens pour les persuader de l’authenticité d’une fausse opportunité commerciale ou d’une romance fictive.