Le gouvernement thaïlandais a officiellement publié une nouvelle loi permettant aux étrangers de travailler ou d’investir dans 18 secteurs économiques pour stimuler l’économie.

Le site Web de la Gazette royale thaïlandaise a publié un avis (la 3e version) signé le 3 février par le Premier ministre, le général Prayuth Cha-o-cha, et le ministre de l’Intérieur, le général Anupong Paochinda.

Spécialistes hautement qualifiés, investisseurs, et startups

La nouvelle version de l’annonce se concentre sur les nouvelles industries cibles pour les travailleurs étrangers, à savoir les spécialistes hautement qualifiés, les investisseurs, les cadres et les entrepreneurs pour les startups.

La décision a été prise en conformité avec le programme de visa SMART, un nouveau type de visa conçu pour attirer des travailleurs hautement qualifiés, avec un permis de séjour maximum de 4 ans en Thaïlande, annoncé par le Conseil de l’investissement de Thaïlande (BOI).

Les 18 secteurs sont :

  1. Industrie automobile
  2. Industrie électronique
  3. Industrie du voyage haut de gamme
  4. Agriculture, alimentation et biotechnologie
  5. Industrie de l’automatisation et dela robotique
  6. Industrie du transport et de la logistique
  7. Pétrochimie et industrie chimique
  8. Industrie numérique
  9. Industrie médicale
  10. Industrie de la défense
  11. Industrie de l’économie circulaire, par exemple production de carburant à partir de déchets et gestion des ressources en eau
  12. Industrie aéronautique, aéronautique et aérospatiale
  13. Mise en valeur des ressources humaines dans le domaine de la science et de la technologie
  14. Gestion de l’environnement et des énergies renouvelables
  15. Gestion de l’écosystème de la technologie, de l’innovation et des startups
  16. Développement technologique ciblé
  17. Centre d’affaires international
  18. Service de règlement extrajudiciaire des litiges »
You May Also Like

Pourquoi la Malaisie et la Thaïlande veulent-elles rejoindre les BRICS ?

Les BRICS, dont le nom remonte à un rapport de Goldman Sachs en 2001, ont longtemps lutté pour trouver un objectif économique ou géopolitique, car ses pays membres ont peu de points communs, hormis le fait d’être grands et non occidentaux.