Nouvelle arrivée à Bangkok, cette fois avec des visas « non immigrant » de trois mois, et la ferme intention de rester au moins une année

Les formalités sont rapides au contrôle des passeports, mais en ce début de mois d’août, il y a pas mal de touristes.

Un agent de la police des frontières voit mon fils qui a cinq ans encore mal réveillé et nous fait signe de passer à un guichet où il y a moins d’attente. Il est encore tôt le matin et le taxi ne met pas plus de 40 minutes pour rejoindre le Woraburi Hotel, dans le quartier de Sukhumvit.

J’ai choisi cet hôtel sur Internet à cause de son restaurant spacieux, d’une grande piscine sur le toit, et de son lobby à l’air libre, ce qui est plutôt rare à Bangkok, où on préfère les aquarium climatisés.

Notre « suite » est en fait une grande chambre avec un lit supplémentaire pour August et une grande salle de bain.

La fenêtre donne sur un petit sous soi du soi 4, et on peut donc espérer l’ouvrir de temps en temps, sans risquer d’être envahi par le bruit et la pollution (deux problèmes majeurs à prendre en considération à Bangkok).

L’hôtel est situé au fond du Soi 4 sukhumvit, mais un petit tuk-tuk fait la navette gratuitement pour les clients jusqu’à Sukhumvit road où il est possible de marcher jusqu’ à la station de BTS Nana en cinq minutes.

Les environs du Soi 4 ne sont pas très brillants : la proximité de Nana Plaza (un des lieux de prostitution de Bangkok) a attiré une pléthore de bars et de restaurants avec des écrans géants qui diffusent des match de foot en boucle jour et nuit.

Cette situation ne me choque pas, mais du coup ces établissements sont chers et médiocre, ce qui est assez rare en Thailande. Par conséquent le secteur de Nana (début du Soi 4 et environs) est à éviter si on cherche un petit restaurant Thai avec des prix raisonnables.